Auteur : Gothica-Darkness-Fiction
Date de création : 18-01-2019
BEE 3 - Chapitre 9 : Nouvelles amitiés 1
Jeremy Kapone "Benjamin"
Jules Sitruk "Aymeric"
Aymeric hésitait entre choisir le couteau ou consulter son portable. Il décida de prendre le couteau, sa main trembla, il ferma les yeux et l'approcha de son cou.
Aymeric (trembla) : S'il te plait Seigneur, pardonne moi de mon geste mais, je ne peux plus continuer de vivre, c'est au dessus de mes forces, je ne mérite plus de vivre, je mérite l'Enfer éternel, envoie moi brûler, je suis prêt...
Mais lorsqu'il commença à ressentir la lame de son couteau contre sa peau. Quelqu'un sonna à la porte...
Aymeric (criant) : Laissez moi crever en paix, merde !
Benjamin (derrière la porte) : C'est moi Benjamin, qu'est-ce qu'il y a, pourquoi, tu ne réponds pas à mes appels, c'est grave, très grave...
En colère, Aymeric planta le couteau dans la table et alla lui ouvrir.
Benjamin : Est-ce que ça va ?
Aymeric (criant) : Non, non, ça ne va pas, j'ai crée un monstre, un monstre, mon frère est venu chez moi, et m'a tout raconté, il a mordu 120 victimes, 120 victimes, et tu voudrais que je me sente bien ? Personne ne meurt du Vampivirus, sauf si les corps sont brulés, sinon, ils reviennent à la vie
Benjamin : Bill a été mordu
Aymeric : maintenant Bill....
Benjamin : Il est à l'hôpital, c'est Margot qui m'a prévenu, et elle voulait s'assurer que j'allais bien. Elle ignore encore que je suis en France, elle nous pense encore ensemble chez Bill, elle a pensé que tu était l'auteur de sa morsure, directement, je lui ai dit que non. Tu confirmes ?
Aymeric : Non, je suis rentrer chez moi et après je n'ai plus été en contact avec Bill...
Benjamin : Qu'est-ce que ce couteau fait planter dans ta table ?
Aymeric : J'avais besoin d'exprimer ma colère intérieur
Benjamin : Cesse de culpabiliser
Aymeric (énervé) : Si je n'avais pas mordu mon frère, ce Vampivirus n'aurait jamais existé
Benjamin : Sauf que tu ne peux pas retourner en arrière, le mal est fait
Aymeric : Est-ce que Bill a vu son agresseur ?
Benjamin : Il a été mis sous tranquilisant
Aymeric : Il faut que tu préviennes ta femme que tu es revenu en france, sinon, elle va s'imaginer des choses entre nous...
Benjamin : je préfère lui faire la surprise, quand elle rentrera se soir, qu'elle me découvre dans notre chambre, ambiance romantique, bougies, pour éviter qu'elle ne pose trop de question
France, Aymeric hesitated between
choosing the knife or consulting his cell phone. He decided to take the
knife, his hand trembled, he closed his eyes and brought it to his
neck.
Aymeric (trembled): Please Lord forgive me for my
gesture but, I cannot continue to live is beyond my strength, I no
longer deserve to live, I deserve Eternal Hell, send burn me, I'm ready
...
But when he began to feel the blade of his knife against his skin. Someone rang the doorbell ...
Aymeric (shouting): Let me die in peace, shit!
Benjamin (behind the door): I am Benjamin, what is it, why, you do not answer my calls, it's serious, very serious ...
Angry, Aymeric stuck the knife in the table and went to open it for him.
Benjamin: Are you okay?
Aymeric
(shouting): No, no, it's not right, I created a monster, a monster, my
brother came to my house, and told me everything, he bit 120 victims,
120 victims, and you want me to feel good? No one dies from the
Vampivirus unless the bodies are burned, otherwise they come back to
life
Benjamin: Bill got bitten
Aymeric: now Bill ....
Benjamin:
He's in the hospital, it's Margot who warned me, and she wanted to make
sure that I was okay. She still doesn't know that I'm in France, she
still thinks of us together at Bill's, she thought that you were the
author of his bite, directly, I told him no. You confirm ?
Aymeric: No, I went home and after that I was no longer in contact with Bill ...
Benjamin: What is that knife doing stuck in your table?
Aymeric: I needed to express my inner anger
Benjamin: Stop feeling guilty
Aymeric (angry): If I hadn't bitten my brother, this Vampivirus would never have existed
Benjamin: Except you can't go back, the damage is done
Aymeric: Did Bill see his attacker?
Benjamin: He was put on tranquilizer
Aymeric: You have to tell your wife that you have returned to France, otherwise, she will imagine things between us ...
Benjamin:
I prefer to surprise her, when she comes home that evening, that she
discovers me in our room, atmosphere romantic, candles, to prevent her
from asking too many questions